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Collection Erres Essais

De Bartleby aux écrivains négatifs : une approche de la négation

De Bartleby aux écrivains négatifs : une approche de la négation

Patrick Tillard.  2011.  De Bartleby aux écrivains négatifs : une approche de la négation. :476.

L’objet de cet essai est d’étudier les postures du refus de plusieurs écrivains négatifs modernes et contemporains, de comprendre leur volonté d’absence et les motivations de leur exil de la littérature. Les silences littéraires de Magloire-Saint-Aude, Colette Peignot, Jean-Pierre Issenhuth, Paul Nougé, Herman Melville, Fernando Pessoa et Robert Walser y sont analysés. La figure du Bartleby de Melville, les obsessions littéraires de Enrique Vila-Matas, les détournements de Perec sont aussi convoqués.

Les fictions hypermédiatiques : mondes fictionnels et espaces ludiques — des arts de mémoire au cyberespace

Les fictions hypermédiatiques : mondes fictionnels et espaces ludiques — des arts de mémoire au cyberespace

Renée Bourassa.  2010.  Les fictions hypermédiatiques : mondes fictionnels et espaces ludiques — des arts de mémoire au cyberespace. :338.

Cet essai traite des formes émergentes de la fiction issues des technologies numériques, en relation avec leurs précurseurs et leurs avenues prospectives. Il explore la rencontre entre la fiction, le récit et la narrativité dans les environnements hypermédiatiques, pensés en fonction de la spatialité.

L'imaginaire de la fin : temps, mots et signes. Logiques de l'imaginaire tome III

L'imaginaire de la fin : temps, mots et signes. Logiques de l'imaginaire tome III

La fin du monde. Comment imaginer ce qui, par définition, résiste à toute perception? Car la fin n’est jamais qu’un fantasme. Elle est un événement dont on ne peut faire l’expérience puisqu’elle annihile celui qui l’anticipe. Imaginer la fin du monde semble être la façon la plus efficace de se venger à l’avance de sa propre mort et de refuser le scandale d’un réel qui échappe à tout contrôle et qui perdure, intact, au-delà de la fin.Les formes que prend l’imaginaire de la fin sont étudiées dans cet essai à partir de trois principes.

Bertrand Gervais.  2009.  L'imaginaire de la fin : temps, mots et signes. Logiques de l'imaginaire tome III. Erres Essais. :240.

Figures, lectures. Logiques de l'imaginaire Tome I

Figures, lectures. Logiques de l'imaginaire Tome I

Figures, lectures est le premier tome d’une série de trois essais sur les logiques de l’imaginaire. Le pluriel, incongru quand il est question de logique, vient signifier le caractère ouvert et multiforme des manifestations de l’imaginaire. Il ne s’agit pas de dire que l’imaginaire a une logique qui lui est propre, mais bien que ses modes de déploiement connaissent de multiples registres, aussi variés que les formes culturelles qui en expriment l’action.

Bertrand Gervais.  2007.  Figures, lectures. Logiques de l'imaginaire Tome I. Erres Essais. :248.

Ruptures : genres de la nouvelles et du fantastique

Ruptures : genres de la nouvelles et du fantastique

Les genres de la nouvelle et du fantastique partagent une esthétique de la rupture : rupture de continuité dans un cas, de raison dans l'autre. Le nouvellier et le fantastiqueur, chacun à sa manière hanté par la dispersion et le mystère des signes du monde, ont en commun de dénier toute prétention à une totalité rassurante, qui leur apparaît comme l'avatar du faux, et de privilégier la réfutation féconde de la rupture.

André Carpentier.  2007.  Ruptures : genres de la nouvelles et du fantastique. Erres Essais. 02:168.

La ligne brisée : labyrinthe, oubli et violence. Logiques de l'imaginaire tome II

La ligne brisée : labyrinthe, oubli et violence. Logiques de l'imaginaire tome II

Imaginons un oubli qui ne soit pas un simple revers de la mémoire, mais une modalité de l’agir. Un oubli positif. Un oubli en acte, in præsentia. Peut-on habiter un tel oubli ? Peut-on le mettre en récit ? Si la mémoire est une ligne ininterrompue qui rattache le présent au passé, l’oubli est assurément une ligne brisée, et le tracé qu’il dessine est fait de segments disjoints, d’instants sans continuité, comme dans un labyrinthe.

Bertrand Gervais.  2008.  La ligne brisée : labyrinthe, oubli et violence. Logiques de l'imaginaire tome II. Erres Essais. :216.

Réinventer le film noir : le cinéma des frères Coen et de Quentin Tarantino

Réinventer le film noir : le cinéma des frères Coen et de Quentin Tarantino

Marqués par l’imagination et le plaisir, les films des frères Coen et de Quentin Tarantino manifestent une nouvelle façon de faire du cinéma, originale et stylisée. Au-delà de leur impact, ils sont les représentants les plus cohérents d’une tendance importante traversant le cinéma des années 1990.

Helen Faradji.  2009.  Réinventer le film noir : le cinéma des frères Coen et de Quentin Tarantino. Erres Essais. :256.

Le texte et la technique : la lecture à l'heure des médias numériques

Le texte et la technique : la lecture à l'heure des médias numériques

Cet ouvrage a pour objet les nouvelles formes de textes apparues au cours des vingt-cinq dernières années, sous la pression concertée des nouvelles technologies médiatiques — livres hybrides, littérature hypertextuelle, fictions hypermédiatiques et interactives. Il s’attache à les comprendre, à les situer dans une histoire longue des pratiques de lecture et à développer des techniques permettant de les analyser.

Samuel Archibald.  2009.  Le texte et la technique : la lecture à l'heure des médias numériques. :312.